Les proches des otages israéliens exercent une pression sur le gouvernement pour obtenir des réponses concernant le sort des 59 otages toujours détenus par le Hamas, 520 jours après l'attaque du 7 octobre. Les familles suspectent le gouvernement de Benyamin Netanyahou de privilégier la guerre plutôt que le cessez-le-feu, mettant ainsi en danger les otages restants. Des manifestations ont eu lieu à Tel-Aviv, Jérusalem et Haïfa. Teljes cikk (LeFigaro)