Abdullah, un fonctionnaire du ministère de l'Économie en Ouzbékistan, n'est pas intéressé par la mer d'Aral, préférant suggérer d'étudier la cérémonie du thé. Il vit à Tachkent, la capitale, qui a vu l'ouverture du pays au tourisme il y a dix ans, permettant aux étrangers de visiter des villes historiques comme Samarkand, Boukhara et Khiva. La mer d'Aral, en déclin, est éloignée et le gouvernement préfère ne pas en parler. Teljes cikk (LeFigaro)